25 août 2016

Equitation, cheval et grosse voire même très grosse chaleur ! ~~ Horse riding, horse and very very big ho t!

Je n'ai pas posté pendant les 2 derniers jours, ( très occupée j'ai été ) mais j'ai quand même pensé à des idées d'articles même si j'étais vraiment HS en rentrant de mes obligations pour les transcrire sur papier ou écran. 

Le premier de ces articles est d'actualité puisque nous sommes en plein dedans c'est la chaleur et même plus : canicule dans certaines régions de France ! (La majorité des régions étant touchées.)

Mais au fait, comment le peuple cavalier gère-t'il la canicule ou la grosse chaleur pour son ou ses activités avec le cheval ? 

C'est en effet une sacrée épine dans le pied de tout cavalier ou propriétaire d'animaux que de s'assurer que ces derniers se portent bien d'autant qu'eux n'ont pas la parole pour dire si il y a quelque chose qui ne va pas.

Certes les chevaux sauvages eux doivent se débrouiller pour leur survie, dont on sait qu'elle est difficile et peuplée d'embûches dés la naissance.

Mais comment font donc les chevaux domestiques qui n'ont pas les mêmes conditions pour s'endurcir ? En effet leurs besoins naturels sont assurés par l'homme, et ils dépendent donc de nous. Comment peux t'on leur assurer un peu de bien-être quand le thermomètre flirte allègrement avec le 40 degrés à l'ombre ? 

L'eau déjà et on sait combien le cheval est difficile sur la qualité de l'eau sans compter qu'il faut une température ni trop chaude ni trop froide ( surtout pas froide = risque de coliques, et l'on sait combien des coliques peuvent être dramatiques, le cheval y est facilement sujet même avec toutes les précautions possibles)

Mais après que faire ? Doucher le cheval ? Pour avoir eu un cheval et avoir tenter ça un jour particulièrement chaud, et je n'ai pas trouvé la solution très efficace à long terme surtout quand on remet le cheval direct dans son box et que le toit n'est qu'un genre de matériel ondulé. Le courant d'air c'est pas top non plus les chevaux n'aiment pas ça de toute façon. Donc après avoir rafraichi la belle, je l'ai emmenée à l'ombre brouter de l'herbe, seul coin à peu près "frais" ou elle ne s'est pas retrouvée en sueur moussante. J'ai du aussi investir dans des électrolytes pour compenser les pertes de minéraux.

Bien évidemment j'ai refusé toutes compétitions (de toutes les façons, la club 3 pouvait se passer de moi, je n'en faisais pas une maladie. Le bien être de ma jument comptant bien plus qu'un bout de ruban et une plaque.)  Par contre mes coachs n'ont pas bien compris ma démarche, je pense que nous n'avons jamais été branchés sur les mêmes motivations.

Comment ça se passe dans le haut-niveau ou malgré les températures parfois très chaudes (30-35 ° C), le cheval et le cavalier doivent accomplir une performance ? Les enjeux étant ce qu'ils sont, comment gère t'on le fait de performer sous une chaleur particulièrement difficile à supporter  pour un cheval habitué à un climat tempéré ? Bien sûr les soins post épreuves dans toutes les disciplines sot là pour aider le cheval à se remettre de l'effort et le cas échéant, une équipe vétérinaire est là pour parer aux urgences. Mais tout de même, Certaines conditions exceptionnelles comme une très grosse chaleur ne valent-elles pas de modifier au moins les horaires de certaines épreuves ? Voir d'en annuler comme lors des grands froids ? On parle du bien être d'un animal vivant qui supporte encore moins bien les chaleurs qu'un être humain. Sous prétexte d'argent, doit-on faire courir à tout prix, par exemple ?  Une nouvelle prise de conscience devrait-elle voir le jour pour ces conditions si exceptionnelles ? Ou au contraire, ceux qui trouvent anormal de demander une performance dans des conditions de chaleur extrême "gagatisent" avec leurs chevaux ? La dispute existe, elle est même toujours bien argumentée de la part de ceux qui trouvent qu'il ne faut pas trop en demander par température exceptionnelle.

Pourtant on continue à voir des compétiteurs qui préfèrent concourir quand même au risque de se retrouver eux-même en difficulté avec leur santé. Quelles peuvent être les limites ? 



I have not posted in the last 2 days, (I was busy) but I still thought about story ideas even if I was really out of order returning from my obligations to transcribe on paper or screen.
The first of these is timely since we are in it is the warmth and even more: heat wave in some regions of France! (Most regions being affected.)
But in fact, how the rider  manage the heat or the heavy heat for his or her activities with the horse?
This is indeed a sacred thorn in the side of any rider or owner of the animals to ensure that they are doing well even they do not have the floor to say if there is something who does not go.
Certainly the wild horses themselves must fend for their survival, which we know is difficult and populated with obstacles from birth.


But how do domestic horses that do not have the same conditions to harden? Indeed their natural needs are provided by the man, so they depend on us. How can you ensure you some welfare when the thermometer flirts cheerfully with 40 degrees in the shade?
The water already and how the horse is known is difficult on the water quality or the need a temperature neither too hot nor too cold (especially not cold = colic, and we know how colic can be dramatic, the horse is easily about even with every precaution)
But then what? Showering the horse? Having had a horse and have to try it a particularly hot day, and I have not found the solution very effective in the long term especially when replaced live horse in its box and the roof is only one kind of corrugated material. The air flow is not great either the horses do not like it anyway. So after having refreshed beautiful, I took her to graze in the shade of the grass, one corner about "fresh" or it was not found in foam sweat. I can also invest in electrolytes to compensate losses of minerals.

 
Of course I refused all competitions (in any case, the club 3 could happen to me, I did not not a disease. The welfare of my mare much cash a piece of ribbon and a plaque .) as against my coaches do not understand my approach, I think we have never been connected to the same motivations.

 How are things in the high-level and despite the sometimes very hot temperatures (30-35 ° C), the horse and rider must complete a performance? The stakes being what they are, how you manage is done to perform under a heat particularly hard to bear for a horse accustomed to a temperate climate? Of course the post care tests in all subjects fool there to help the horse recover from the effort and if applicable, a veterinary team is there to deal with emergencies. But still, some exceptional conditions like very hot weather do not they worth to change at least the schedules of some events? See to cancel as during the coldest? We talk about the welfare of a living animal that supports even less the heat than human. Under the pretext of money, should we run at all costs, for example? Should a new awareness emerge for these conditions so exceptional? Or rather, those who find abnormal to ask a performance in conditions of extreme heat take their horses for small kind ? The dispute exists, it is always very well argued on the part of those who find that we must not ask too much by exceptional temperature.
Yet we continue to see the competitors who prefer to compete when even at the risk of finding themselves in trouble with their health. What are the limits ?





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